Les champs (colonnes) d’une table sont comme les cases du classeur.
Les données sont les informations que vous stockez dans ces cases.
Les contraintes sont comme les règles du jeu. Elles définissent ce que vous pouvez et ne pouvez pas mettre dans chaque case pour que tout reste bien rangé et précis.
Exemples de contraintes
- Clé primaire : Une contrainte qui garantit l’unicité des valeurs dans un champ spécifié, ce qui signifie qu’aucune valeur dupliquée n’est autorisée dans ce champ. La clé primaire identifie de manière unique chaque enregistrement dans une table.
- Clé étrangère : Une contrainte qui établit une relation entre deux tables en reliant le champ clé primaire d’une table à un champ clé étrangère dans une autre table. Cela garantit l’intégrité référentielle entre les données des deux tables.
- Contrainte d’intégrité référentielle : Une combinaison de contraintes de clé primaire et de clé étrangère qui garantit que les valeurs dans le champ clé étrangère d’une table liée existent dans le champ clé primaire de la table parente.
- Contrainte de validation : Une règle qui spécifie les valeurs autorisées pour un champ donné. Par exemple, une contrainte de validation pourrait limiter les valeurs d’un champ à un certain intervalle numérique ou à une liste de valeurs spécifiée.
- Contrainte de longueur : Une règle qui limite la longueur maximale des données pouvant être saisies dans un champ texte.
- La contrainte « Valeur requise » pourrait empêcher de laisser la case vide.
- Contrainte de format : Une règle qui spécifie le format des données autorisées pour un champ donné. Par exemple, une contrainte de format pourrait exiger que les données d’un champ date soient saisies dans un format spécifique (par exemple, « JJ/MM/AAAA »).
- Contrainte d’index : Une règle qui définit un index sur un champ spécifié pour améliorer les performances de recherche et de tri des données. Les contraintes d’index peuvent être uniques, ce qui signifie qu’aucune valeur dupliquée n’est autorisée, ou non uniques.